LYS. Et Dieu crééa la femme... ♥

Si je devais me rappeler d'anecdotes qui m'ont marquées, je parlerais surement de mon enfance et de ma rencontre avec l'homme de ma vie. Alors accrochez vous, vous ne serez pas déçus.

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M A M A N , L A.F E M M E.D E.M A.V I E.

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« Papa… Pourquoi maman est à l’hôpital ? » « Mmh, ma chérie. Il faut que je te parle de quelque chose concernant maman. » « Oui… Je t’écoute. » « Maman est entrée à l’hôpital car… elle est très malade » « Comment ça ? » « Ecoutes, c’est compliquée à t’expliquer. » « Papa, je ne suis plus une gamine qu’il faut protéger de tout, j’ai 18 ans et j’aimerais savoir ce qu’il se passe avec maman. C’est à cause de son malaise ? Il y a eu des complications ? »’ « Je sais que tu n’es plus une enfant, mais c’est toujours assez dur de dire ces choses-là. Pour son malaise ma chérie, il n’y a eu de complications… Mais son malaise est dû à sa maladie. Elle a évoluée à une allure excessive. Les médecins viennent de lui déceler une tumeur au cerveau. » « Non… C’est pas vrai. Mais elle était en bonne santé et elle allait toujours bien avant son malaise d’hier. » « Oui… mais la maladie ne s’est déclarée que hier avant son malaise. Je l’ai emmenée à l’hôpital ce matin car elle ne se sentait toujours pas bien, et ils lui ont fait un tas d’examens… Je suis aussi déboussolé que toi Lys. »

J’avais 18 ans, et mon père venait de m’annoncer la maladie de ma mère. Avec elle, j’ai toujours eu une relation fusionnelle. Elle était mon modèle et mon pilier dans la vie. Elle a toujours eu la force de se battre contre les autres qui la trouvaient un peu trop libérée à leur goût. Elle a été dépucelée par mon père à l’âge de 14 ans et forcement cela laisse des traces et l’image de s*lope est vite faite, et pour s’en débarrasser c’est très compliqué. Je sais ce que c’est étant donné que j’ai eu cette même réputation à l’âge de 15 ans lorsque mon petit ami de l’époque m’a fait l’amour pour la première fois. Tant de méchanceté gratuite, tant de jalousie, que ma mère et moi avons vécues et pourtant nous n’avons jamais rien demandé à personne. Lorsque je suis née, elle a dit qu’elle ne voulait pas d’autre enfant car elle savait que c’était moi qu’elle aimerait plus que tout. Dès qu’elle m’a vu naître, elle s’est dit que j’étais la prochaine Mademoiselle Woods, et que personne ne pourrait me remplacer. Je n’ai jamais eu de frère ni de sœur et c’est pour cela que ma mère à toujours était derrière moi. A me chérir autant qu’elle le pouvait.

« Maman… » « Lys… Je suis désolée mon ange. » « Désolée de quoi ? » « De t’abandonner si tôt. Je ne pensais pas que je disparaitrais si vite de ta petite vie. » « Mais non maman, arrêtes ! Tu ne vas pas partir loin de moi. Je serais toujours là pour toi quoi qu’il arrive et ne t’inquiètes pas les médecins vont faire ce qu’ils pourront pour te sauver » « Non… Personne ne peut plus rien pour moi. Ma maladie est déjà trop avancée. » « C’est pas possible… bats toi… Tu sais te battre maman. Alors bats toi, je t’en supplie. »

Ma mère est décédée une semaine après cette discussion. Heureusement, le jour où elle m’a quitté, j’étais à côté d’elle et les « je t’aime » fusaient.

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L'MOAUR VACHE! L'AMOUR SINCÈRE! ♥

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« Tu pourrais pas arrêter de me souler Woods ? » « Qu’est ce qu’il y a ma jolie ? T’es toute timide. Pourtant, c’est pas ce qu’on dit de toi… » « Lâches moi sale c*n ! »

Darren Esteban Woods. Un garçon qu’à l’époque de l’université, je ne pouvais pas encadrer. Ce garçon me donnait envie de vomir à chaque fois que mon regard croisait le sien. Il été répugnant, et bien entendu un tontiné malsain. La première fois que je l’ai rencontré, c’était lors du bal de promo. Il été en compagnie de sa petite amie de l’époque qui était bien entendu ma pire ennemie. Une blondasse qui n’avait aucune valeur de la vie. Bref, il s’était avancé vers moi pendant que j’attendais dans les couloirs que ma meilleure amie sorte des toilettes, et m’a collée contre le mur en commençant à vouloir me violer. Je n’ai pas hésité une seule seconde à lui mettre me genoux tout droit dans ses bijoux de familles. Et bien entendu cela ne l’a pas arrêté pour autant et il a recommencé à plusieurs reprises. Je ne sais pas ce qu’il avait sur moi, mais en tout cas, il n’y allait pas avec le dos de la cuillère en me parlant de choses obscènes.
Je pense plutôt que je suis une fille, tout ce qu’il y a de plus sadique, parce que quelques semaines après je commençais à avoir de grands sentiments naissants envers Darren. Mais lui non, il n’avait jamais aimé personne de sa vie, et je pensais que jamais il ne se marierait et jamais il n’aurait d’enfant. Pour la première pensée, j’aurais mieux fait de la fermer ce jour là, si j’aurais su que la mariée serait moi en personne, et je pense d’ailleurs que cela ne m’aurais pas déranger si je l’aurais su à l’avance. Darren s’était inscrit dans une autre université parce qu’il changeait de branche. Il ne voulait plus être médecin, mais il voulait devenir Directeur d’une boîte de nuit. Cela ne m’a pas du tout étonnée le connaissant.
Je ne l’ai pas vu pendant des mois et des mois, et j’ai su qu’il avait une autre petite amie. Une fille dont il était un peu amoureux, et pour moi, rien que de savoir qu’il était amoureux d’une autre fille que moi, j’étais déboussolée et trahie. Je ne sais pas pourquoi mais cette nouvelle m’avait fendu le cœur en mille morceaux.

A l’âge de 21 ans, alors que j’étais toujours dans la même fac, je l’ai revu à une fête toujours, d’un ami que nous avions en commun. Et ce soir là, nous avons passés la nuit ensemble. Je lui es posé des questions sur sa nouvelle petite amie, et il m’a dit clairement, qu’il n’était pas amoureux d’elle, mais de moi depuis le début. Il était juste trop fier de sa petite personne pour me l’avouer… Bref, vous devinerez la suite… nous sommes sortis ensemble, nous avons emménagés ensemble, et aujourd’hui nous sommes mariés. Je suis d’ailleurs la plus heureuse du monde avec lui. Il est vraiment tout ce que j’attendais de quelqu’un. Je pense que rien ne pourra nous séparer. Nous sommes trop heureux et amoureux. N’essayez donc pas mesdemoiselles.