« beautiful nightmare » ● JANE

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JANE TALYN WILMINGTON

NOM ET PRÉNOM(S) WILMINGTON, Jane Talyn.
DATE DE NAISSANCE ET ÂGE 12 avril 1985, 25 ans.
OCCUPATION(S) elle vient de terminer ses études pour être médecin légiste.
STATUT en couple mais c'est très compliqué.
GROUPE keep trying
TRAITS DE CARACTÈRE débrouillarde, indépendante, observatrice, studieuse, intelligente, rusée, battante, drôle même si on ne le soupçonne pas, sarcastique (humour noir principalement), lunatique, lucide, cartésienne, têtue, possessive, maladroite, méfiante, sociable lorsqu'elle est à l'aise avec les gens, naturelle, loyale, étrange, colérique, excessive, exigeante, attentionnée, distinguée, polie, maniaque, rancunière, créative, habile (...)

POUR QUELLE(S) RAISON(S) AVEZ-VOUS ACCEPTÉ L'INVITATION ? « Contrairement à ce que l'on peut croire, je n'étais pas particulièrement enthousiaste à l'idée de partir en vacances sur une île. Et en temps normal, je n'aurais pas accepté l'invitation. Je sais, il faut être fou pour cracher sur une telle opportunité mais je suis folle, donc après tout... Ce n'est donc pas une surprise si j'avoue avoir refusé au départ mais j'ai finalement cédé. Il semblerait que ce petit voyage loin de tout pourrait m'aider à me rapprocher de Clark. Et je me devais de faire plaisir à Marlon et Charlie, avec qui je partage l'aventure. Après plusieurs années le nez plongé dans les bouquins, est-ce que prendre un peu de vacances peut me faire du mal ? Nous verrons bien. »
QUEL EST VOTRE PIRE CAUCHEMAR ? « Naturellement, je pourrais répondre que mon pire cauchemar serait de perdre un être cher. Devoir subir sa disparition de manière directe, me sentir impuissante et inutile, ne sachant comment faire pour l'aider. Ce serait un véritable cauchemar pour moi. Ce serait comme si le destin s'efforçait à être sadique pour m'obliger à être spectatrice d'un tel drame. Ce n'est jamais arrivé par chance et j'espère sincèrement que cela ne m'arrivera tout simplement pas. Outre cette angoisse, j'éprouve une réelle réticence en présence d'animaux marins comme les requins par exemple. Je me souviens que lors d'un voyage en famille, nous avions programmé de la plongée en cage avec des requins à quelques mètres de nous seulement. C'était absolument terrifiant. Je n'ai jamais osé m'y approcher même en me sachant en sécurité derrière des barres de fer. Je déteste ces bestioles, elles sont horribles et je pense que les films portant sur le sujet ne m'ont pas aidé à les apprécier davantage... »
PARTICULARITÉS Elle est née à Juneau, en Alaska et l'a quitté pour New York pour suivre ses études. ● Elle est une fan de films d'horreur et thriller, c'est ce qu'elle regarde le plus souvent. ● Elle change de style vestimentaire comme de chemises. ● Elle déteste le café. ● Elle raffole du chocolat. ● Elle ne prend jamais le petit-déjeuner. ● Les gens la regardent bizarrement dès qu'elle évoque son métier. ● Elle a étudié à Columbia, elle était une des meilleures de sa promotion et a obtenu le diplôme avec succès. ● Au lycée elle est passée du statut de fille super populaire à celui de grosse geek en quelques mois. Elle ne regrette pas. ● Elle vient d'une famille aisée mais elle est très loin d'être une fille pourrie gâtée. ● Elle a une petite soeur qui sort de l'adolescence et c'est pas trop tôt. ● Elle a quitté la maison familiale à l'âge de dix-sept ans pour vivre de ses propres moyens, dans un appartement douteux. ● Elle a déjà fait du stop et n'en fera plus jamais. ● Elle a déjà travaillé dans un asile psychiatrique, c'était enrichissant. ● Elle déteste Noël ● Elle a une sainte horreur des poupées en porcelaine ● Elle ne croit pas en Dieu, elle croit en Mère Nature ● Elle croit au Destin. Si quelque chose arrive, c'est qu'il y a une raison. ● Comme beaucoup de ses collègues, il lui arrive de parler aux morts lorsqu'elle travaille. ● Elle n'a eu qu'un petit copain dans sa vie et c'est Clark. ● Elle n'aime pas le shopping. ● Elle a un chien qui se nomme Jazz et qui l'accompagne sur l'île. ●

AVATAR mysexywife Sophia Bush
PSEUDO ET ÂGE Psychozee ou plus simplement Lora, vingt ans.
MULTINICK ? nop'
CODE DU RÈGLEMENT OK (livia)
COMMENTAIRE ? depuis le temps que je voulais jouer sur un forum tel que celui-ci, une pure merveille mes louloups

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SEVENTEEN (1993) ♣ JUNEAU (ALASKA) ♣ I'M WALKING FEARLESS

Des affaires dépassant d’un sac, une silhouette mouvant rapidement d’un point à un autre de la pièce. Elle ne cesse de regarder l’heure qui s’affiche sur le réveil, sur sa table de chevet. Elle s’arrête, regarde à travers la fenêtre. Elle pensait avoir entendu le bruit d’un véhicule pénétrant dans l’allée mais son esprit ne fait que lui jouer des tours. Elle recommence ses différents mouvements qui restent malgré tout les mêmes. Elle vide les placards et les tiroirs, prend ce qui lui passe sous la main et dépose le tout dans le sac qui se remplit beaucoup trop vite. Elle ne fugue pas, elle prend simplement son envole. Elle ne tient pas à croiser ses parents, consciente que cela ruinerait son plan. Elle ne les déteste pas, au contraire, elle les aime de tout son cœur mais elle a besoin de faire ses preuves, loin des règles de la Haute. Elle s’empresse de prendre les dernières petites choses qui lui seront indispensables, loin de la maison. Lorsqu’elle estime que tout est en ordre, elle regarda sa chambre avec un certain pincement au cœur. Jackie, sa sœur, demandera certainement l’accord aux parents pour avoir cette pièce. Elle sourit puis ferme le sac qu’elle met ensuite sur son épaule. Elle avance doucement vers un tiroir d’où elle sort deux enveloppes. Une pour ses parents, une autre pour la plus jeune des Wilmington. Elle les pose sur son lit et quitte les lieux sans se retourner.

Il fait froid et un léger frisson parcourt sa colonne vertébrale alors que des rafales de vent font voler ses cheveux noirs corbeau. Elle marche en solitaire sur un sentier de terre, la seule route accessible pour rejoindre la principale. La forêt l’entoure, petite, elle avait horreur d’y venir seule. Elle imaginait voire des monstres de toute sorte sortir pour l’attraper. Elle voyait déjà dans la peau du petit Chaperon rouge. Et malgré les années en plus, elle continue à être sur ses gardes bien que ce soit stupide. Elle était née ici, elle connaissait chaque recoin de cette petite ville paumée d’Alaska. Même si elle avait décidé de quitter la demeure familiale, elle ne pouvait s’engager à quitter cet endroit. Elle savait qu’il ne lui restait plus qu’un an environ avant de partir pour une grande université. Partir encore plus loin qu’elle ne le faisait à présent. A des milliers de kilomètres de ses racines. Sortant de ses rêveries, elle remarque le panneau lui indiquant la grande route. Encore quelques pas et elle y sera mais elle le savait déjà. Elle avait emprunté tellement de fois ce chemin qu’elle ne comptait plus. Enfin du goudron, Jane accélère un peu plus le pas. Elle pense passer la nuit dans un hôtel. Elle lève les yeux vers le ciel, il y a plusieurs nuages qui se suivent, il va certainement pleuvoir. Après un petit moment, elle décide de faire du stop. A pied - sa voiture étant au garage -, il y avait de grande chance pour qu’elle arrive trempée au premier hôtel du coin alors qu’elle sent des gouttes tomber progressivement. Le ciel s’obscurcit un peu plus, elle n’a pas peur. Des phares la réveille un peu, elle agite son bras, son pousse, tout son corps et la voiture d’une couleur rouge s’approche vivement puis ralentit finalement à sa hauteur. Jane se met à trotter pour la rejoindre. Est-ce une personne qu’elle connaît ? Tout le monde se connait à Juneau « Jane ? » Gagné. Jane étire les lèvres ? « Madame Rosen » La portière s’ouvre et Jane pénètre dans le véhicule alors que l’orage se rapproche davantage. Madame Rosen est une femme d’une quarantaine d’années qui est récemment divorcé, mère d'un fils militaire. Elle est aussi professeur au lycée de Jane. « Où vas-tu comme ça ? » Bonne question. « A l'hôtel le plus proche... si possible » Elle la regarde froncer des sourcils. « Des problèmes ? » Jane s'empresse de la rassurer en secourant vivement la tête. « Non, rassurez-vous, tout va bien. Mes parents me soutiennent. » Et un petit mensonge pour la route. « J'ai... décidé de prendre mon envol si je puis dire. » Jane n’est pas surprise de voir l’étonnement se lire sur le visage de Madame Rosen. C'était plutôt peu commun qu'une gosse de riche quitte le confort pour quelque chose d'incertain. « Tu cherches un logement donc ? » Jane hoche la tête positivement. Et comme un signe du destin, madame Rosen se met à lui parler d’un petit studio qu’elle possède et loue ; il était à son fils. « Ça t'intéresse ? Je sais que tu veux te débrouiller toute seule mais c'est un bon endroit pour une adolescente comme toi. » Jane ne se voit alors pas refuser une telle opportunité. « Merci beaucoup. Vous savez vous n’êtes pas obligée de… » « Ne me remercie pas, ce n’est pas grand-chose. Il y aura quelques travaux d'entretien à faire mais on peut y vivre. » dit-elle en lui coupant la parole, sur un ton maternel. Un rire franc sort de la bouche de Jane et pose son regard sur la conductrice. « Je ne demande rien de plus. »

Les deux jeunes femmes poussent les portes du studio situé au bord d’un petit lac et non loin du centre ville. Jane remarque l’expression nostalgique sur le visage de madame Rosen. L’endroit est à nettoyer mais c’est assez pour une adolescente indépendante comme Jane. Elle dépose son sac plutôt lourd sur le sol et visite un peu les lieux. « Il faut que je te laisse, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésites pas. » Jane se tourne. « Encore merci. » « Nous discuterons du loyer et des détails demain, après les cours. Bonne soirée. » Jane lui adresse un sourire complice, en réponse à celui de son professeur puis ferme ensuite la porte derrière elle. Un soupir s’échappe de ses lèvres, un sacré coup de chance, elle qui pensait passer sa première nuit dans un hôtel miteux. Une sonnerie de téléphone retentit et brise le silence. Jane se précipite sur le mobile : « maison » est affiché sur l’écran. « Allô ? » répond-t-elle sur un ton enjoué. Une voix féminine visiblement en panique est à l’autre bout du téléphone. Elle passa une bonne heure à rassurer sa mère, après tout, elle avait déjà plus ou moins mis en garde ses parents qu'elle prendrait bientôt son indépendance ; voilà qui était chose faite. Ce n'était pas de la manière la plus douce, certes mais elle ne regrettait rien. Imprévisible la caractérisait bien, elle prouvait une fois de plus qu'elle pouvait se montrer étonnante.

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TWENTY FIVE (2010) ♣ NEW YORK ♣ HEAVEN'S A LIE

La sonnerie d’un téléphone portable retentit en crescendo, avec habilité, Jane s’empara de l’objet après l’avoir sortie de son sac à main. « Oui ? » Une voix masculine à l’autre bout du fil la fait sourire. « Où es-tu ? » « Je sors d'une morgue (et oui), et là je vais faire quelques courses au centre commercial. » « Je te rejoins là-bas. » Elle acquiesça d’un simple « Okay » et raccrocha. Ce n’était pas surprenant, sans doute que Clark devait s’ennuyer pour avoir une soudaine envie de s’occuper. Mais il n’était pas non plus un homme comme les autres, faire les courses ou du shopping ne le dérangeait guère contrairement à Jane, qui pouvait aisément s’en passer. Sans perdre le rythme, elle rejoignit son véhicule et se rendit à destination.

Clark était là, assit sur l’un des bancs à attendre patiemment sa petite amie. D’un geste de la main elle le salua de loin puis lorsqu’elle se retrouva enfin à sa hauteur, déposa un léger baiser sur ses lèvres. Ils avaient clairement besoin de remplir les placards ainsi que le frigidaire, ce soir ils recevaient Marlon et Charlie pour dîner. Heureusement pour eux, Jane savait cuisiner et pas que des pâtes. Même si il y a peu elle était surtout plongée dans ses études de médecine, maintenant qu’elle était fière graduée, elle pouvait se permettre de prendre un peu de repos. Du moins, entre ses différents entretiens et autres.
Ils commencèrent à parcoururent les rayons, Jane avait la liste entre ses mains, Clark poussait le chariot. « N’oublies pas ces biscuits que j’aime bien, je ne me souviens plus du nom. » Jane se tourna vers le jeune femme, arquant un sourcil, un sourire en coin. « Ces mêmes biscuits qui finissent comme bouffe pour les pigeons au bout d’une semaine ? » Elle se mit à ricaner en le voyant rouler des yeux et continua à mettre dans le chariot les produits qui étaient marqués sur le bout de papier.
Au bout d’un peu moins d’une heure, le chariot était déjà bien rempli et ils étaient fin prêts pour rejoindre les caisses. Brusquement, Jane se stoppa en posant une main sur le bras de Clark. « Oh attends, j’ai oublié quelque chose. Restes là, je fais vite. » Aussitôt dit, aussitôt fait, elle quitta le rayon dans lequel ils se trouvaient en trottinant. Par malchance, ils avaient une fois de plus changé de place certains produits et dut revenir sur ses pas, se rendant compte que ce qu’elle cherchait à tout prix se trouvait juste derrière le rayon où elle était plus tôt avec Clark. Elle se mit à parcourir des yeux les étagères et sa met se projeta finalement en avant pour attraper la fameuse boite d’allumettes qu’elle avait oublié. Elle accéléra donc le pas pour rejoindre Clark mais lorsqu’elle détourna le rayon. Elle entendit des brides de conversation et lorsqu’elle comprit qu’il s’agissait de lui, en train de discuter avec une inconnue (même si elle était de dos, elle savait qu’elle ne l’avait jamais vu auparavant), Jane recula avec maladresse. Etait-elle en train d’espionner ? L’expression qu’elle avait pu brièvement apercevoir sur le visage de Clark l’interpella. Elle plissa le front et tenta de se concentrer sur les deux jeunes gens, comme si elle pouvait occulter le brouhaha qui l’entourait afin qu’elle puisse entendre ce qu’ils se disaient. « Je suis ravie de te revoir Clark (…) » Jane serra la mâchoire, même si elle n’était pas d’une nature très jalouse, le ton que cette inconnue avait employé laissait à désirer sur ses réelles pensées. « Je ne m’attendais pas à tomber sur toi… » Le plus étrange était qu’il semblait gêné et Jane allait vite savoir pourquoi. « J’ai repensé à toi l’autre fois. J’ai aimé la nuit qu’on a passée ensemble, j’aimerais qu’on remette ça. » « Ecoute (…) » Le cœur de Jane fit un bond et elle crut avoir la nausée. Immédiatement, elle se retourna, planquant son dos contre la surface dure de l’étagère. Avait-elle bien entendu ? Après tout, avec toutes les personnes autour d’elle, la musique en fond sonore, le bruit des caisses enregistreuses… Non elle n’avait pas rêvé et pourtant elle aurait préféré. Si seulement elle pouvait croire à une mauvaise blague de son imagination, elle n’avait pourtant pas inventé le ton aguicheur de l’inconnue et sa main posée sur le torse de Clark. Les larmes lui montant aux yeux – plus par colère que par tristesse pour le moment – elle tenta de se reprendre et de garder la tête froide. Elle se connaissait que trop bien, elle était impulsive, imprévisible et colérique. Elle sentait ses membres trembler tellement l’envie de baffer cette pouf était grande. Elle prit une profonde inspiration, mais ce n’était pas suffisant pour la garder calme. Une ribambelle de sentiments contradictoires lui donnait le tournis mais la tête haute, elle avança vers les deux jeunes gens. Le visage dur, elle ne lâchait pas Clark des yeux et si elle avait eut des armes à la place des yeux, il serait à l’agonie à l’heure actuelle. « Je dérange ? » demanda-t-elle en voyant l’inconnue soudainement se reculer et imposer une distance plus que raisonnable entre Clark et elle. Clark s’empressa de vouloir faire les présentations mais Jane n’écouta qu’à moitié, ne détournant pas son regard de la dite « ??? ». « Enchantée de faire votre connaissance Jane. » Silence « Bien, je vais vous laisser. J’ai des choses à faire. » Et elle s’éclipsa. Jane avait au moins réussit à ne pas se jeter sur elle pour lui faire bouffer sa plaque de flic. « Hm. On y va ? » Il commençait à s’avancer mais Jane ne lui suivait pas. Sa vue devenait de plus en plus flou et son menton frémissait. Elle détourna les yeux, passant sa main sur ces derniers pour les essuyer. Beaucoup trop fière, elle ne désirait pas qu’il la remarque dans cet état de faiblesse dont il était le responsable. « Jane ? » Même sa voix l'insupportait, il la prenait ouvertement pour une imbécile et c’était un total manque de respect – comme si la tromper n’était pas suffisant. Elle se rapprocha de lui et le fixa avec une intensité déroutante. « Comment as-tu pu ? » chuchota-t-elle. « J'ai tout entendu, vous êtes très discrets. » Ses mains passèrent nerveusement dans ses cheveux bruns avant de faire quelques pas en avant, s’éloignant un peu plus de lui. « Tu peux appeler Marlon pour annuler le dîner de ce soir. S’il te demande pourquoi, explique-lui donc à quel point son frère est un salaud et qu'il a tout gâché. Sur ce, je rentre. » Elle lui adressa un dernier regard remplit de haine et pivota sur ses talons. « Jane ! » L’écouter n’était pas dans ses priorités, elle quitta définitivement le centre commercial, le laissant en plan sans aucun remord. Peut-être trouverait-elle la volonté de le laisser s’expliquer mais pour le moment, tout ce qu’elle désirait était de rentrer chez elle et de ne plus penser à lui – chose qui allait s’avérer difficile alors qu’il vit avec elle.